Site Parinux

Groupe d’Utilisateur·ices de GNU/Linux et de Logiciels Libres Francilien

Accueil > L’association > Comptes rendus d’AG > Compte rendu de l’Assemblée Générale Extraordinaire du jeudi 17 mars (...)

Compte rendu de l’Assemblée Générale Extraordinaire du jeudi 17 mars 2005

L’assemblée générale extraordinaire de Parinux a eu lieu le jeudi 17 mars 2005 à la Taverne République (5, place de la République, 75003 Paris), en présence de :

  • Jean-Luc Ancey (secrétaire adjoint),
  • Maher Bensalah,
  • Philippe Blayo,
  • Marcel Bonnin,
  • Alain Coron,
  • Charles Croix,
  • Guy Decarpentrie (administrateur),
  • Alix Guillard (président),
  • Lucile Ichi,
  • Pierre Lagrange,
  • Olivier K. (administrateur),
  • Jelena Karanovic (administratrice),
  • Claude Koehler,
  • Laurent Martelli (vice-président),
  • Paul Marques Mota (administrateur),
  • Jean-Jacques Perruffel,
  • Laurent Rathle (trésorier),
  • Serge Reimundez,
  • Emmanuel Seyman (vice-président),

soit 19 membres dont 9 administrateurs, auxquels il convient d’ajouter ceux qui ont donné des procurations valides, à savoir :

  • Pierre-Antoine Cantenot (proc. à Emmanuel Seyman),
  • Matthieu Compin (administrateur, proc. à Laurent Martelli),
  • Frédéric Couchet (proc. à Alix Guillard),
  • Sébastien Douche (administrateur, proc. à Jean-Luc Ancey),
  • Sylvain Lhullier (secrétaire, proc. à Jean-Luc Ancey),
  • Ludovic Pénet (proc. à Jelena Karanovic),
  • Laurent Pierre (proc. à Emmanuel Seyman),
  • Thomas Sechet (proc. à Alix Guillard).

La procuration de Bruno Schultz à Rhydwen Volsik n’a pu être prise en compte en raison de l’absence de son mandataire.

Au total, l’assemblée générale extraordinaire a donc délibéré avec 27 membres présents ou représentés, dont 12 administrateurs présents ou représentés.

La séance est ouverte à 20 heures. Le président Alix Guillard donne pouvoir au secrétaire adjoint Jean-Luc Ancey pour présider la séance.

Jean-Luc Ancey rappelle pour quelle raison cette assemblée générale extraordinaire a été convoquée. Parinux souhaite obtenir le label d’"association d’éducation populaire", et cela exige deux modifications de ses statuts : l’abaissement à seize ans de l’âge minimal pour siéger au conseil d’administration, et l’élection des administrateurs par l’ensemble des membres (et non plus par cooptation au sein du conseil d’administration comme auparavant). Par ailleurs, l’occasion est mise à profit pour corriger une coquille évidente dans l’article 7 des statuts (le bureau est désigné par le conseil d’administration, et non par le règlement intérieur comme il avait été noté par erreur).

Lors de l’assemblée générale extraordinaire du 8 janvier 2005, le quorum exigé par l’article 11 des statuts (un quart des membres actifs de l’association) n’ayant pas été atteint, la modification des statuts n’avait pu être entérinée. Un vote consultatif avait cependant eu lieu sur cette question, et son résultat avait été presque unanimement favorable à l’adoption des nouveaux statuts. Il appartient donc à cette assemblée générale extraordinaire de trancher définitivement, cette fois sans condition de quorum, conformément à l’article 12 des statuts.

On distribue une version imprimée du document que le secrétaire de Parinux Sylvain Lhullier avait préparé pour l’assemblée générale extraordinaire de janvier, et qui indique de façon très lisible les suppressions et ajouts proposés au vote. Jean-Luc Ancey en donne lecture en rappelant à mesure dans quel esprit ces modifications sont faites.

On procède à un tour de table pour permettre l’expression d’éventuelles objections. Guy Decarpentrie explique brièvement que Loïc Bernable (qui lui a donné procuration pour voter contre l’adoption des nouveaux statuts) voit dans cette modification une complication inutile de la rédaction antérieure. Olivier K. trouve lui aussi les nouveaux statuts quelque peu compliqués, mais il estime possible de "faire avec" et il se contentera donc de s’abstenir.

Les objections ayant été aussi peu nombreuses que virulentes, Jean-Luc Ancey suggère que l’on passe au vote, et que l’on vote l’ensemble des modifications en une seule fois plutôt qu’article par article. Personne ne critique cette façon de faire au cours d’un nouveau tour de table rapide.